Balade à Gorbella le 7 Décembre 2007

Publié le par Jacques Peyrat





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Balade----Gorbella.jpgToujours amateur de pommes !!

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Monsieur Jacques Peyrat...<br /> En réalité, je ne sais comment vous titrer ; Maître ? Monsieur le Maire ? Monsieur le Sénateur ? Un peu des deux ? Des trois ? Monsieur le Président de la Communauté d'Agglomération ?...<br /> Monsieur Peyrat, Monsieur Jacques, Jacques...?<br /> <br /> Cher Jacques Peyrat, <br /> <br /> "Cher" à mon coeur, à mon esprit parce que "cher" toujours à Nice et aux niçois,<br /> voici deux mandats pour lesquels vous vous êtes illustré brillament !<br /> Les Niçois qui avaient voté pour vous à deux reprises savent aujourd'hui qu'ils ne s'y sont pas trompés ! Un Maire u-ni-que !<br /> Tous ces projets que vous avez menés, toutes ces initiatives, tous ces gestes, tous vos actes ont servi admirablement Nice et ses habitants.<br /> Si l'opposition est juste, elle sait que vous êtes un bon Maire. Mais il serait juste qu'en bonne opposition, elle s'oppose aussi à ce constat d'évidence. C'est dans la nature d'une opposition de s'opposer même si, devant les excellents résultats obtenus par vous, c'est imbécile !<br /> Si vos proches, vos amis sont justes, ils ne peuvent qu'être admiratifs de l'homme que vous êtes: Le visionnaire, Le courageux, Le volontaire, L'altruiste, L'excellent.<br /> Combien vous doivent leur succès ? Combien doivent une reconnaissance éternelle ? Combien , aujourd'hui, vous trahissent ?<br /> Attirés par les lumières d'un Ministère parisien, voletant ça et là tels des papillons hypnotisés par le cuisant sémaphore parisianiste, voilà qu'ils vous lâchent, vous, celui qui les a toujours soutenus ! Ils vous lâchent. Les lâches !<br /> Celles et ceux qui vous souriaient, qui osaient même brandir la menace de tout vous rapporter s'ils n'obtenaient pas satisfaction personnelle pour obtenir des choses, celles et ceux qui vous encensaient, aujourd'hui, vous plombent, séduits par un Estrosisme ô combien peu intéressé par la Ville de Nice, du moins , c'est que ce dernier clamait haut et fort il y a quelque temps. L'ange gabriel...Oh pardon ! l'ange Nicolas est venu lui apporter la bonne parole et le voilà investit d'une mission pour les intérêts parisiens tout en faisant gober aux uns et aux autres sa "passion" pour les azuréens.<br /> N'étiez-vous qu'entouré que de naïfs pour qu'ils vous lâchèrent de la sorte ou bien n'étiez-vous qu'entourés d'illusionistes de grands talents qui vous révélèrent, il y a peu, leur soutien sans faille au sous-fifre de paris ?<br /> Que leur avez-vous fait pour qu'il vous lâche comme cela ? N'est-ce pas à vous qu'ils doivent leur notoriété ? N'est-ce pas à vous qu'ils doivent tous vos succès ? N'est-ce pas à vous que les niçois doivent tant ?<br /> S'il est naturel que les oppositions s'opposent à vous, il n'en reste pas moins qu'il est dégueulasse la façon dont vous êtes traité parles vôtres. Je pense que le Jacques Peyrat que l'on qualifie -à tort- d'insensible a souffert, souffre et souffrira encore de ces coups de couteaux portés par les vôtres. pour autant, cher Jacques Peyrat, les niçois ne sont pas dupes. Pas dupes du tout. Même si les moyens de communication ne sont pas de votre côté, il n'en reste pas moins qu'un ex champion de moto aux ambitions parisiennes ne sera jamais à la hauteur d'un ancien combattant, d'un avocat, d'un maire, d'un député, d'un sénateur, et que sais-je encore? De plus, vous êtes l'homme qui avez rendu à Nice sa dignité de cinquième ville de France ! Et si les niçoises et les niçois savaient à quel point vous êtes remarquable, ils feraient ce qui est juste. Et ce qui est juste aujourd'hui, c'est de donner toute sa raison d'être au fameux proverbe : "Jamais deux, sans trois !"<br /> Cher Jacques Peyrat, je vous souhaite tous les bonheurs du monde, tous les succès du monde car un jour, j'ai eu besoin de vous. Je ne militais pas, je n'avais pas de couleur politique et lorsque je vous ai interpellé timidement au milieu de cette foule pour savoir si je pouvais vous parler, vous vous êtes dirigé vers moi, m'avez pris par l'épaule en m'invitant à faire quelques pas en votre compagnie, et vous m'avez écouté avec une attention telle que j'ai même cru à une comédie de politicien sur l'instant ! Je vous présente mes excuses aujourd'hui de l'avoir cru même un bref instant. Parce que ce qui a suivi de notre rencontre a changé ma vie toute entière. Vous avez pris à coeur mon cas, un cas qui ne présentait aucun intérêt pour vous si ce n'était un souci de plus à gérer. Vous auriez pu faire preuve de langue de bois. Ca n'a pas été le cas. Vous auriez pu m'attraper par l'épaule parce qu'il y aurait eu des photographes ou des caméras, il n' y avait rien de tout cela ! Juste de la foule qui ne pouvait entendre mes propos, ni les vôtres.<br /> Vous avez changé ma vie parce que vous m'avez écouté. Aujourd'hui, ce que j'ai, je vous en dois une grosse partie. Vous avez tant fait pour les personnes individuellement et collectivement ! Vous avez ma loyauté, ma reconnaissance, ma fidèle amitié et tout mon soutien dans le combat qui est le vôtre ! N'ayez pas peur de l'échec car il ne serait du qu'aux trahisons, aux gens méprisables qui ont osé vous jouer ce sale tour, un tour que vous ne méritiez certainement pas !<br /> Tenez bon ! Comme toujours ! Même si la défaite semble plus probable parce que l'adversaire a plus de paillettes, sachez que le seul vrai échec serait celui des individus qui oseront voter toute personne qui ne serait pas vous. Nice sait bien ce qu'elle vous doit. Gageons que les niçois sauront où sera l'intérêt de leur ville.<br /> <br /> Très amicalement, <br /> <br /> Testclin.
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